
Collection Particulière_Merveilleux Prétexte

spiel troubles travels and art
Art and Poetry of Korea
“The World is Round” – paintings by Tcha K (ChaRyong Ko)
at Médiatheque Eric Rohmer, Tulle
(Avenue Winston Churchill 19000 Tulle)
en partenariat avec Merveilleux Prétexte
Résumé
Née en 1985
Graduée de The Courtauld Institute of Art, University of London, Histoire de l’Art, 2004~2008 (BA)
Dirige un court-métrage ‘Saeng Il’ (35 mins.)
Invitée par Art Gwang Ju, Corée du Sud à ‘Directors’ Special Exhibition, Double Democracy ||’ 2012
Comme j’allais au Royaume-Uni en juillet, 1998,
Comme j’aimais la classe de ‘Religious Studies’ en regardant les peintures aux remplies de symboles,
Comme j’admirais mon professeur de lycée qui le premier jour de classe traça une ligne de sable,
Comme j’ecrivais sur Gaudier-Brzeska et William Burroughs, réalisant que c’est le moment d’arrêter d’écrire sur d’autres artistes,
Comme je commençais à vivre dans la caverne, je trouvais mon vrai muse mais il était enchaînée,
Comme je me sentais vraiment vivante mais encore avec quelques frustrations de ne pas être capable de faire sortir mon énergie,
Comme je revenais en Corée et jouais quelque temps avec l’appareil photo et la caméra,
Comme je décidais de faire de la peinture pour me donner une pause, nécessaire pour les Coréens, nécessaire aux hyènes du 21ième siècle,
Comme je peignais sans penser rationnellement laissant mon subconscient jouer son violon, tous mes moi-même rassemblés par le pinceau,
Comme je finissais chaque peinture, les spectateurs créent aussi parce que chacun d’entre nous à sa propre histoire et sentiment,
Comme j’entends les gens parlant de mes peintures, c’est un plaisir d’entendre plus les adjectifs que les noms,
Comme je range mes peintures après que le spectacle soit terminé comme un clown vagabond du cirque, j’espère avoir eut une émotion d’un certain genre ou une inspiration d’un certain genre,
Comme je m’assois pour fumer une cigarette, j’imagine les couleurs des émotions des autres personnes,
Comme je m’assoie en bas de la rivière, je me dis tranquillement à moi-même pourquoi après tout, nous regardons les peintures, nous lisons de la poésie, et nous allons au théâtre sinon pour être rassuré que nous sommes tous ensemble dans cette fragilité de l’existence, isn’t it?
à Tulle
04.28.2014~05.22.2014
Oui, la résidence est un espace et aussi un temps.
Je suis venue. J’ai deviné. J’ai été attrapé. J’ai écrit. Je me suis propagée. J’ai lu. J’ai avalé.
J’ai peint.
Il y avait de la musique et de l’alcool.
Quelque vieux habits étaient perdus.
Je me suis trouvée moi-même, comme désolée.
Sauf la nature.
La nature emmène une chaîne d’évènements pour être charriés doucement.
Quelquefois la terrible tragédie chez nous rend mon cœur comme une pierre sombre couverte de sang.
Oui, la terre est ronde, le monde est ronde, et la peine aussi est ronde.
J’ai de la chance.
Parce que j’ai encore le droit d’apprendre.
Vous aussi.
Sur la terre ronde, la vie est le voyage.
Suis le cycle des saisons changeantes.
Accepte la vérité avec honnêteté.
Les étoiles, alors, lancent des signes pour le chemin du matin.
Mes couleurs multiples tournent et tourbillonnent dans chaque place.
La vie est elle-même un art et peindre est mon outil pour révéler les traces variées de la vie.
번역 (traduction): H
Residency Studio
Exhibition in Tulle